• présentation

    DÉMARCHE DE LA COMPAGNIE

    Le travail de création chorégraphique est au cœur de l’activité de la Compagnie gambit. Il est la matière première des projets qui naissent autour de la diffusion des spectacles comme les résidences, les projets territoriaux, les évènements en plein air...

    « Je me pose la question de l'avenir...c'est une réflexion récurrente sur le monde, la société, l'humain sorte de (pré)sentiment. J'ai l'impression d'être acculée à cette réflexion, comme si tout naturellement mon itinéraire conjugué à mon environnement fonctionnait tel un entonnoir avec une sorte d'évidence à la clef. Pour replacer l'artiste au cœur de la société, au cœur de l'humain, pour constater, témoigner, se questionner autrement pour exprimer un imaginaire débordant qui s'impose plus qu'il ne se cherche. » Dominique Guilhaudin

    hISTORIQUE

    La compagnie de danse gambit a été créée par Dominique Guilhaudin rapidement reconnue pour son travail artistique, elle bénéficie du soutien de professionnels culturels et artistiques. Durant les 5 premières années, Dominique Guilhaudin bâtira les fondations de la compagnie tant au niveau de sa reconnaissance artistique que dans la mise en place de projets de sensibilisations fédérateurs. La compagnie ancre des projets dans le temps  tels les rencontres Densité dont elle est à l’initiative et qu'elle organise depuis 2004.

    aCTIONS DE SENSIBILISATIONS

    La participation à l’élargissement des publics de la danse et la médiation ont toujours été des préoccupations qui ont accompagnées le développement des créations de la compagnie. Dominique Guilhaudin construit ces actions de sensibilisation avec le même essentiel et la même avidité d’aller plus loin et l’ambition d’emmener les personnes sur de nouveaux chemins d’expérimentations vers la danse grâce à ce medium commun qu’est le corps.

    « Je travaille avec 1 et jusqu’à 8 interprètes. Pour de multiples raisons, il n’est pas questions de création avec beaucoup plus d’artistes. Cependant, mon imaginaire, lui, se décline parfois pour des groupes plus importants que le travail avec les populations permet. Mes exigences sont alors ‘déplacées’ au profit de focales et challenges artistiques inhérentes au groupe comme pour le Défilé de la Biennale de la danse de Lyon en 2006, 2008, 2012 et ses Pointillés en 2010» Dominique Guilhaudin